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PARCE QUE C NOUS

PARCE QUE C NOUS
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PARCE QUE C NOUS
9 janvier 2008

TU ME MANQUES

Eh oui, encore un des ces terribles soirs où tu me manques !

J'ai pensé à toi toute la journée :à ton sourire, ton regard affectueux qui transpire l'amour.

Souvenir du jour : un repas sympa dans une crêperie conviviale. Nous avons bu du cidre dans un bol, il y avait un cheveu dans ma crêpe, les pompiers ont envahi la salle pour un repas très animé, la coupe de crément m'a achevée... Plus qu'une seule envie : dormir dans tes bras !

Et ce fut notre première nuit ! Une révelation ! Une nuit pleine de tendresse, de ardiesse ! Oui je sais, j'ai enlevé mon pantalon - toute seule - mais c'était pour faire dodo !

J'y pense très souvent tu sais. Je revis en mémoire ces instants, à nous, c'est tout ce qu'il me reste.

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8 janvier 2008

SURPRISE !

Quelle agréable surprise j'ai eu hier !

Pour mon anniversaire, le plus intrigant des kdo est arrivé par la poste - sans le nom de l'expéditeur. Juste un indice, 3 lettres. Mon coeur s'est mis à battre.

J'ai déballé avec frénésie le paquet, si tu m'avais vu, tu aurais pensé à ton fils le soir de noel !

Le choix était parfait : j'en fais ma musique de chevet et celle de mon réveil ! Je n'imaginais pas que tu te souvenais de cette date - encore moins que tu aies l'audace de mettre sous pli un présent. Les souvenirs m'ont envahi : moi chantant à tue-tête dans la voiture en direction d'Ikea - toi grimaçant - attendant patiemment que l'envie de fredonner me passe...

L'espace d'un instant, tu étais à mes côtés. Je sais que tu penses toujours à moi, que tu ne m'as pas oubliée et que j'ai compté pour toi. Tu es si sensible à ce que je ressens, tu me devines

MERCI

6 janvier 2008

ENTREE EN MATIERE

L'encre de tes yeux

Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.

Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Pourquoi ces paroles de Cabrel en guise d'introduction ?

Parce que nous ne vivrons jamais tous les deux. Parce que tu marches toujours à mes côtés dans mes rêves les plus fous, parce que notre histoire aura longtemps le parfum de nos regrets.

Nous avons fait le choix de suivre nos chemins, poursuivre nos vies séparement. La question qui me hante restera à jamais pourquoi ? Par lâcheté, par facilité, peur de la pression, des bouleversements, que sais-je ?

Te souviens-tu du jour où tu m'as dit que si les circonstances étaient différentes, tu m'aurais demandé à cet instant précis de vivre avec toi ? A cet instant, je ne me suis jamais autant sentie aussi proche de toi, et aussi persuadée que cela était ton désir le plus profond, comme le mien.

Privé de nos échanges, notre jardin secret, notre liberté, j'ai besoin de laisser une trace de nous. Ici, maintenant, dès que le manque de toi sera le plus fort. Parce que chaque regard, chaque sourire, chaque parole, chaque caresse, chaque frisson sont encore gravés au plus profond de ma mémoire. Je peux encore sentir battre mon coeur contre le tien. Cet espace sera ma mémoire.

Tu me manques.

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